Pourtant lorsqu’il me rattrapa, je fus impatient de savoir et de comprendre, car je savais que je ne pourrais me débarrasser de ma culpabilité qu’en exposant mes cauchemars au grand jour. J’étais comme un arbre resté seul après l’abatage de la forêt et je me sentais coupable d’être en vie alors que tant d’autres étaient morts