Keegan alluma l’appareil et son champ de vision se peupla d’icônes de couleur et de données brutes plaquées sur tout ce qu’elle voyait. Contrairement aux premières versions où la réalité augmentée imprimait les données sur le verre, les suivantes les projetaient directement dans les yeux, ce qui permettait d’augmenter le nombre de données transmises.