J'avais l'impression que chaque fois qu'elle souriait, la pièce semblait plus lumineuse, tandis que paraissaient s'alléger les "fardeaux sans nom" pesant sur mon cœur (tels que la solitude, l'ennui, les regrets, l'espérance, la sympathie et d'autres sentiments indicibles. J'ai l'impression qu'un poids que je ne parviens jamais à écarter m'écrase et que c'est cela qui m'oblige à écrire).