Je l’embrasse et je lui demande pardon, pardon de ne plus pouvoir rester, je resterais si je le pouvais, tu me crois, j’ai l’impression que c’est mieux comme ça, c’est mieux pour nous tous, j’ai une épouse et un enfant et un deuxième en route, j’ai une épouse, et je voudrais lui dire combien il compte pour moi, que notre été devrait durer toujours, mais je ne fais que pleurer, et il me prend dans ses bras, me regarde, cloué, et passe le gué avec ses mots : I know, I know, I’m sorry.