En matière de journalisme il n’y a rien d’inné. Plus exactement, je ne crois pas au talent d’écriture inné. Il doit bien y avoir des génies en la matière, de la même manière qu’il y a eu Pelé en football, Van Gogh en peinture et Berlioz en musique, mais j’ai toujours constaté l’évidence que le talent se travaille.