Je savais que rater la rentrée littéraire de fin août signifiait sortir en octobre voire novembre, après les prix littéraires, quand plus personne ne lit. J’aurais aussi peut-être pu négocier une parution en janvier, quand tout le monde a des bons-cadeaux de Noël à écouler à la Fnac, mais d’autres y avaient pensé avant moi et le créneau était chaque année plus encombré alors je compris que c’était fini, la bouteille était vide, la partie pliée, les vacances terminées, le game over.