Chacun de nous possédait un don particulier décerné par Dieu. Notre tâche était de trouver ce talent et de l’utiliser pour faire le bien. Les contributions de Cymbeline ne proviendraient pas de son intellect. C’était une athlète. Une compétitrice. Être fidèle à ses rêves et à ses aspirations encouragerait les autres jeunes femmes à faire de même. C’était grâce à des personnes comme Cymbeline, qui avaient le courage d’essayer ce qui n’avait jamais été fait auparavant, même aux dépens de leur vie personnelle, que la société avançait.