Dans notre société, en effet, on parle peu de la mort, on la craint comme un néant absolu. Même ceux qui croient en Dieu la redoutent, c’est un comble ! Pour ma part, à la lumière de mes expériences, j’ai juste la conviction que notre vie est éternelle. Quelle que soit la forme qu’elle prend après le trépas, la conscience d’un homme ne meurt pas. Bien des sociétés orientales ont totalement admis ce postulat mais notre société occidentale la réfute le plus souvent. Par ailleurs, ma formation journalistique me procure une curiosité qui me pousse toujours plus loin dans mes investigations. Je fouine, je cherche, et surtout, je ne me laisse pas impressionner. J’ai appris à être prudente.