Et puisqu’il n’y a ni gagnants…
Et puisqu’il n’y a ni gagnants, ni perdants, creuse sous le voile
d’apparence et gave-toi d’absolu…
Qu’elle soit longue l’agonie de vivre, qu’elle soit vengeance
sous le pli de l’oubli…
Gagne du terrain et grave ta propre tombe d’une lettre d’or…
Que la lumière se penche sur ton sommeil…
Et se reflète dans l’œil de celui qui a vu…