« Les rues étaient noires de monde, les rideaux de fer des boutiques avaient tous été fermés. Les enfants et les adolescents se trouvaient en tête de cortège sur l’un des reportages, ils brandissaient des slogans inscrits au feutre sur des feuilles de papier, ainsi que des drapeaux de la Syrie, à bout de bras. La foule scandait des mots, des revendications. (…) Les riverains à leurs balcons joignaient leurs applaudissements et leurs voix aux leurs. »
p.37