Je suis poussé vigoureusement vers une cage en bambou. Après une fouille brutale qui me soulage de mon passeport, de mon argent et de tout mon équipement, on m'enferme dans cette mini-prison.
Accroupi en plein soleil, surveillé par des dizaines de regards haineux, je prends conscience que le cauchemar absolu vient de ses réaliser en même temps que le succès de mon reportage.
Je voulais rencontrer les tueurs de l'Angkar...
Eh bien c'est fait. Mission accomplie. (page 204)