« À Carme », dit-il sur le ton de la discussion, « les phalangistes ont le devoir d’aimer d’autres hommes. Leurs généraux pensent qu’un soldat se battra plus férocement pour défendre celui qu’il aime. Là-bas, les femmes sont des matrices et rien de plus. Nous, nous pensons que chacun devrait être libre de ses préférences. » Je pris à cœur ces paroles et, lorsque la bizarrerie initiale m’eut quitté, je les méditai souvent pour leur justesse.