La nuit tombait, et elle s’annonçait claire, étonnamment limpide, comme seul l’hiver sait les faire. La lune serait pleine d’ici un jour ou deux et les astres au-dessus dessinaient un spectacle stupéfiant, une lumineuse traînée d’évanescence laiteuse. Mon souffle se condensait sous mon capuchon. Cette nuit, il ferait froid. (p. 588.)