Le roi qui croit manquer de quelque chose souffre des affres de la pauvreté comme un mendiant. De même, l'homme qui croit être son corps est assujetti à la nais- sance, à la maladie et à la mort. Mais s'ils'affranchit de cette croyance, il retrouve la joie. Sous l'influence de maya celui qui est parfait pense ne pas l'être.