Mais ce furent les Hilton de la génération précédente qui m'intéressèrent le plus. Leurs trois visages traduisirent - chacun à sa manière - le même sentiment, non point d'effroi et de chagrin, mais d'indignation, comme si la mort eût fait preuve du plus impardonnable manque de tact en les privant d'un membre de leur personnel domestique sans avoir au préalable sollicité leur autorisation. Je pouvais presque entendre les réflexions de Mrs Lanchester :
" Ce que la mort peut se montrer vulgaire, parfois ! Ce que tout ceci peut être ...a-mé-ri-cain! "