Biographie :
Patrick Staath, écrivain de la vie.
A la question qui lui est posée, avez-vous déjà réalisé un long métrage ? Il répond
oui ! Son titre ? MA VIE, mais il n’est pas terminé.
Il ne savait pas, en arrivant sur terre, que le fil d’Ariane de son existence serait le besoin d’exception. C’est le flou de l’existence qui est accumulateur de tous les moments sublimes.
Français, né en juin 1947, banlieusard du nord Parisien, libre penseur, éclectique, amoureux de la vie, aujourd’hui, écrivain du fond de la Thaïlande, ses tatouages intimes remontent à la surface, et font vivre ses personnages. A l’extérieur, il n’en a pas car il en refuse le poids du marquage à vie. Le seul acceptable qui est inscrit au plus profond de son être, LIBERTE.
C’est dans ses actes que l’on peut lire. Sa méchante prise de conscience de la mort, a l’âge de neuf ans, lui a fait tout refuser en bloc. Personne ne savait que, le gamin calme, pondéré, à l’échine souple, vivait intérieurement en cocotte-minute prête à exploser. Sa rupture fut consciemment voulue. Dire non lui était interdit, le sectarisme ambiant lui était imposé, c’est cette charmante ionosphère qui l’a déterminé à mettre les bouts rapidement et voir les choses par lui-même. S’imposant son serment de liberté et revendiquant sa responsabilisation dans son devenir, il s’obligeait à ses risques, à la compréhension des êtres et à vivre des situations que seuls ceux qui chassent en solitaire peuvent connaitre.
Liberté qu’il arrivait au fil des ans à argumenter et qui l’installait dans la différence.
Liberté lorsque, adulte il n’acceptait que les missions en free-lance.
Liberté lorsque porté par l’illusion politique il rompait d’avec celui qui l’avait déçu.
Liberté encore par son divorce d’avec son cerbère exploiteur.
Liberté lorsque il développait ses propres entreprises.
Liberté de partir encore aujourd’hui.
Liberté, liberté à tout crin, toujours et en tout.
Il n’y peut rien c’est ainsi, il est fait comme cela on doit faire avec ou alors lui foutre la paix.
Surtout ! Ne pas vouloir lui apposer une étiquette. D’une part il la refuserait et d’autre part ce serais faire une erreur car le spectre est large. Il y a du bon et du mauvais partout. Il est dommage que ceux qui en sont le siège n’arrivent pas à se reconnaître. On impose des œillères aux chevaux pour les faire marcher droit, lui, refuse, car l’herbe grasse, celle qui nourrit, est en dehors de la route empierrée. Les humains ont besoin d’un drapeau pour repère, lu
+ Voir plusAjouter des informations