Hannah Arendt « Considérations morales. » : L'erreur la plus claire et la plus dangereuse dans la proposition, aussi ancienne que Platon, « nul ne fait le mal volontairement » est la conclusion qu'elle entraîne : « tout le monde veut faire le bien ». La triste vérité est que la plus grande part du mal est faite par des gens qui ne se sont jamais décidés à être bons ou mauvais.