Quand les écoles n’enseigneront que des livres de Gertrude Stein et Virginia Woolf et que James Joyce et Gustave Flaubert seront devenus des écrivains «masculinistes», quand les musées d’art consacreront une semaine par an à l’exploration des œuvres inconnues des «artistes masculins» et quand les historiens publieront chaque décennie un magazine pour parler du rôle des «hommes invisibles dans l’histoire», alors, à ce moment-là, vous pourrez nous appeler des féminazies.