Les informations voyagent par route et par bateau, et coursiers et marins ont des oreilles. Ils ont aussi des bouches, qui ont besoin de s'abreuver dans les tavernes; des bouches qui, si elles sont assez avinées, finiront par répandre ces informations qu'ils n'étaient même pas censés connaître. C'est pourquoi les tavernes et les auberges sont toujours le centre névralgique des cités.