Voir ces pauvres gens, privés de ce qui faisait d’eux des hommes, s’écorcher ainsi sur les murs de ma propre maison, aurait dû m’horrifier mais, au fond, cela m’amusait. Regarder ces saloperies qui, après tout, ne souhaitaient que se repaître de mon corps, s’abîmer de la sorte me convenait parfaitement.