Des gens fuyaient à travers champs ou couraient sur la route, loin du carnage qui s’étalait sous mes yeux, mais la majorité continuait à affluer vers mon domicile, dernière lueur d’espoir pour beaucoup. Mais le plus terrible était ces hommes et femmes qui pourchassaient les fuyards. […] Ils semblaient n’avoir qu’un but : tuer et se repaître de la chair de leurs victimes.