C'était les années 50 et, même si mon école nous encourageait à viser l'université, il était implicite qu'une fois mariée vous lâcheriez tout. Dans mon esprit, la fenêtre dont vous disposiez après la fin de vos études pour vous réaliser et satisfaire vos ambitions était donc très étroite avant que le rideau ne tombe, vous renvoyant à une utile vie domestique.