Non plus de quelque architecture aérienne et trop pure
Non plus de quelque architecture aérienne et trop pure,
quelque complexe et subtil jeu de lignes à travers quoi
pour l’éternité joue le vide.
Il s’agit de descendre. Plus bas. Encore plus bas.
Nous sommes au niveau de la terre noire,
au niveau des odeurs humides, de la fraîcheur obscure,
au niveau de la naissance des pensées verdoyantes.
Nous sommes chez nous.