Le nom déjà porte sa musique propre : Verlaine : ces syllabes froissent de discrets violons, alarment doucement l'oreille intérieure, lui suggèrent de retenir une chanson qui s'éloigne. On peut se référer à ce diapason avant d'ouvrir ce livre où, précisement, un orage d'une violence inouïe se dissipe en échos déchirants.
Antoine Blondin, préface.