A droite, à gauche de la route, il y avait les bois, la forêt de Sologne, avec ses sapins, ses bouleaux blancs, ses bruyères d'hiver, ses terriers creusés dans le sable. Parfois, entre les troncs, scintillait la face d'un étang reflétant le ciel, pareil à lui. C'était un paysage triste, mais sans solennité, vivant cependant de toute la vie des bêtes qui s'y cachaient.