Maintenant, Paulo touchait l'arbre des deux mains. Ou plutôt, il "jouait de l'arbre" comme d'un instrument, car chaque forme qui naissait émettait un son différent : un soupir, un son de cloche, un ronflement, un rire d'enfant, un bruit de verre qui se brise, un souffle, un claquement de langue, un sifflement, un roulement de cascade...