Ce goût légèrement amer de la solitude, il le portait comme un fardeau nécessaire : un jour, c'est seuls que nous franchirions la dernière porte, pensait-il, quels que soient nos attachements, nos amours et nos amitiés. Il lui semblait important d'apprivoiser cette solitude, ou se tissait sa vraie stature d'homme, et qui le situait de façon juste vis-à-vis de Dieu et vis-à-vis des autres.