La pénombre l'enveloppa au bout de quelques pas. En l'absence de la moindre brise, les arbres étaient parfaitement immobiles. Les plus hauts empêchaient en partie de voir les étoiles, et la lune, à sa moitié, n'envoyait qu'une pâle lumière toucher le sol. Le jardin était vaste, mais Huy marchait lentement, l'esprit préoccupé par son travail, et par la vieillesse de Tetiankh.