Ce qui s’avérait encore plus pénible que les regards insistants, c’était l’apitoiement hypocrite de collègues dont je me moquais pas mal. J’avais dû entendre je ne sais combien de fois : « Je suis vraiment désolé(e) pour toi » alors que les visages disaient : « En voilà une bien bonne à raconter à ma soirée entre copines ! » ou « Je suis content(e) de ne pas être à sa place ! »