Le but de celui qui a recueilli ces légendes a été de les voir écrites afin qu’elles servent aux plus compétents et aux plus érudits, qui pourront en tirer toute la lumière pour compléter l’histoire de notre nation.
Le mérite en revient au peuple qui a conservé ces légendes, si, de mérite, elles en ont quelque peu.
La langue, autant qu’il a été possible, est la sienne. Rien, absolument rien n’appartient à celui qui les a récoltées, sinon le plaisir de les mettre par écrit.
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