Il est cependant très désirable de répandre les bonnes doctrines si nettement exposées par Philibert de l’Orme; puisque l’art Français a la bonne fortune d’avoir été pratiqué et enseigné à l’époque de la Renaissance par un homme d’une telle valeur, la propagation de ses écrits s’impose et ne peut qu’être bien accueillie.