Pénétrer dans cette pièce, c'était comme voyager à rebours dans le temps. Retourner à la misère sordide des logements pouilleux où les Rastas faisaient tourner un shilom comme une offrande sous les étoiles, emplissant leurs cerveaux d'assez de drogue pour embarquer vers une nuit de violence, voler, violer, assassiner.