La lettre de Julien est marquée par l’attente de la mort : « Je mourrai dans deux mois » (RN, 756). Anticipant son exécution, le prisonnier veut appliquer une politique de l’oubli, afin de disparaître de la mémoire publique et surtout de celle de la classe supérieure. Dans ses « dernières paroles », Julien cherche également à disposer de l’avenir de Mathilde en lui ordonnant d’épouser le duc de Croisenois.