Rien à faire, il sait que, dans son dos, il y a encore la photo, que, dans le cadre, Paul sourit, qu'il y sourira jusqu'à la fin du monde, et que lui, Samuel ne sera jamais capable de s'en débarrasser, ou même seulement de la ranger dans un tiroir. La photo est intouchable, elle est plus forte que lui, plus forte que tout.
Paul est son fils. Cet après-midi, à 14 heures, il doit l'enterrer.