Le flux financier lié aux terres agricoles artificialisées est du même ordre de grandeur que la totalité des revenus des agriculteurs. Voici donc l'hypothèse, qui demanderait à être consolidée par des données plus précises et géographisées : avec la conversion de quelques parcelles de-ci, de-là, par les agriculteurs les plus "chanceux" ayant la possibilité de voir leurs propriétés ouvertes à l'urbanisation, il ne s'agit pas de mettre un peu de beurre dans les épinards ; à l'échelle du pays, cela permet de doubler, et peut-être bien plus, les revenus agricoles !