Le chasseur s’approche doucement du lit où la jeune fille dort paisiblement. Elle ronfle un peu, en reniflant, et il ne parvient pas à retenir un ricanement méprisant. Elle n’est qu’un animal. Ce sont tous des animaux. Ils ne comptent pas. Il peut en tuer autant qu’il le souhaite, puisque là est son plaisir. Fini, les chiens errants et les chats de gouttières. Il peut enfin recommencer à tuer des êtres humains ! C’est tellement, tellement plus excitant.