"- 40 millions se sont envolés avec l'effondrement de la bourse...
C'est la panique !
- Je vous paye pour paniquer ?
- Non.
- Alors vous êtes viré.
Messieurs nous allons annoncer 400 millions de perte, ça nous fera une marge et nous appellerons ensuite le premier ministre qui débloquera une aide."