Ce constat est paradoxal et étonnant. Car a priori, on se dirait que les déserts sont des endroits invivables, où l’homme ne peut être que toléré et se saurait perdurer. Au contraire, l’homme, a chaque fois, réussi à s’y adapter et à y survivre de manière durable. Et pas seulement l’un ou l’autre siècle. Mais au contraire des dizaines de milliers d’années, créant aussi les plus vieilles populations endémiques du monde.