Ceux qui ont, un jour de leur jeunesse, prête l'oreille à la voix de Leonard Cohen, ont appris très tôt que, dans leur existence ils auraient froid, peur, qu'ils se sentiraient atrocement seuls, surtout au milieu des autres, et qu'ils penseraient parfois qu'il aurait mieux valu ne jamais naître. (Préface de Michka Assayas.)