J’ai l’air d’un vieillard qui vient de perdre sa compagne, sa seule raison de vivre. Ainsi, impossible d’effacer mon passé, impossible de croire à une nouvelle vie, moi, l’assassin, le double meurtrier avec préméditation. Il y a une justice divine. Je vivrai avec cette image atroce, ce remords permanent. Aucun répit possible pour moi.