Sous les feux de la rampe par le fait de radicalismes et d’une récupération politique, l’islam interpelle, intéresse en son origine, son évolution, son message, son avenir ; il satisfait, intrigue ou inquiète ; un dialogue est-il possible entre les francs-maçons et les musulmans ?
Le mot « islam » signifie-t-il « soumission » à Dieu (de l’arabe « ??????? ») ou est-il issu de la racine sémitique « slm » ayant donné le mot « salam » signifiant « paix » ?
Je me permets d’oser espérer la seconde interprétation comme plus juste, car l’islam ne peut être soumission absolue à peine de s’autodétruire à terme, et donc, il ne saurait se concevoir d’absence de liberté individuelle ni de pensée ni d’expression, lesquelles ne peuvent cesser d’exister lorsque l’on s’engage dans l’islam ; tout un débat à la lumière de l’Histoire de cette religion dont la réputation fut celle de la conquête belliqueuse, notamment aux yeux des chrétiens,3 réputation qui perdure, à tort ou à raison.