Bombardés, rationnés, pris en tenaille entre les « optimistes » et les « pessimistes », désabusés par les cortèges de blessés que le front déverse quotidiennement dans les nouveaux hôpitaux privés et publics, les Parisiens –pour la plupart des femmes, des enfants, des vieillards, des réfugiés et des … embusqués- vont malgré tout réussir à traverser la tempête, souvent avec un moral, un humour et un courage inépuisable. [p. 6]