- Je dois avouer que j'ai grand peine à te saisir. Rares sont ceux capables de malmener ma perspicacité aussi bien que toi. Tu as attisé ma curiosité. Prends place, dit le vieil homme indiquant de sa canne un tronc d'arbre couché sur le sol. J'ai grande soif de connaissances et je te soupçonne d'en détenir suffisamment pour l'étancher. Si tu commençais par me dire qui tu es.
Éric tergiversa quelques instants. Il jaugea l'inconnu à la verve incohérente avec ses allures de clochard.