De ces sacs entiers, si nombreux, pleins comme des outres, il ne restait rien. Ils étaient entassés dans un coin, les uns sur les autres. La dissolution des pétales avait emprunté un chemin expérimenté depuis des siècles. Le feu et l’eau, le temps aussi, le nombre exact d’heures, étaient parvenus à exhaler la rose, à la rendre éternelle.