Alors ils parcourront les rues à peau découverte, s'incorporant à l'incessant brassage jusqu'à ce que ce soient leurs voix qui crient avec les trains et grincent avec les gonds. Jusqu'à ce que ce soient eux qui réclament, d'un timbre déformé par les traitements synthétiques, l'attention des voyageurs et disent les correspondants occupés, les factures à payer et les virage imminents....
Ils feront de la ville un infini murmurant. Et la langue elle-même deviendra paysage.