Pierre-Alain Gasse

Depuis le début de ce voyage, j’ai compris qu’il y a des souvenirs qu’il faut laisser s’effacer sans essayer de les retenir, que d’autres sont gravés à jamais et que tous sont beaucoup moins beaux si on tente de les raviver.

tant que l'on n'a pas une tombe devant laquelle se recueillir, on est de nulle part.

Les mots, parfois, ne suffisent pas à évacuer la violence intérieure.

Je suis contente, et même pressée de partir à présent, mais tout de même, mourir rend les autres tellement tristes que c'est à vous dégouter de le faire!