Je m’affairais dans le studio lorsqu’elle entra, somptueusement habillée et pieds nus. Elle observa l’arrangement de mes lumières avec attention et déclara : « Ah monsieur, si on pouvait encore éclairer les films ainsi que vous le faites ! » J’étais tétanisé de bonheur. Elle venait de me délivrer le plus beau des compliments. Non seulement elle appréciait en connaisseuse l’éclairage que je venais de monter, mais Isabelle Huppert encourageait également mes aspirations à retrouver l’atmosphère magique d’Harcourt…