Je remercie énormément Pierre Avrial pour l'envoi, en service presse, de son roman : Comme une mouche collée à la vitre.
À quarante ans, entre une profession stressante, une épouse distante, une fille adolescente et une belle-famille envahissante, Simon vit une profonde crise existentielle.
Quand le destin lui offre l’opportunité de faire un break dans sa vie, il n'imagine pas la tournure inattendue que vont prendre les événements.
Plus les jours passent, plus il lui sera difficile de trancher : revenir ou disparaître..
Comme une mouche collée à la vitre est un premier roman réussi qui esquisse avec énormément de justesse et beaucoup d'humour le portrait d'un homme, Simon. Ce dernier s'interroge sur sa vie de couple, de famille, sur son métier de professeur, sur ce qu'il est, tout simplement.
Cet homme est en pleine quête d'identité, ce qui est touchant.
Le hasard fait qu'il se retrouve en fuite, sans réellement le vouloir. En apparence car profondément, au fond de lui, il est fort possible qu'inconsciemment il est eu envie de partir, de changer de vie, de passer à autre chose.
J'ai beaucoup aimé le portrait de cet homme. Il a su me toucher, je l'ai trouvé attachant.
Evidemment, son comportement fait se poser des questions au lecteur. Et si nous avions l'opportunité de tout plaquer, même pour une courte période.. que ferions nous ? Comme Simon ? Ou pas du tout car notre vie nous plait telle qu'elle est..
Revenir ? Disparaitre ? Difficile de trancher..
Comme une mouche collée à la vitre est un premier roman que je vous invite à découvrir.
L'écriture est dynamique grâce à de courts chapitres qui font mouche. Je ne me suis pas du tout ennuyée. Au contraire, j'ai pris plaisir à le lire d'une traite pour découvrir comment l'aventure de Simon allait bien pouvoir se terminer.
Pas tout à fait un coup de cœur mais je lui mets un très joli quatre étoiles et demie :)
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Une histoire captivante où l'on suit Simon qui est vraiment dans une mauvaise passe, entre sa vie professionnelle, familiale et personnelle il ne sait plus où il en est. J'ai apprécié découvrir ce personnage qui tente de faire le point sur sa vie en choisissant des directions pas aussi simple...
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« Comme une mouche collée à la vitre » fait partie de ces livres qu’on lit d’une traite tant la lecture est prenante. Des chapitres courts, une lecture rendue facile par le choix des mots de l’auteur, un personnage attachant qui vit dans notre propre réalité : le tout en fait une histoire captivante. En perspective : des rebondissements et des péripéties qui rendent l’histoire intense et passionnante. Pari réussi pour ce premier livre à la fin détonante autant qu’inattendue. J’ai beaucoup apprécié la manière de dépeindre la réalité de la vie professionnelle des professeurs et cette fuite d’une vie qui ne lui correspond plus. La tournure des événements vécus par Simon nous ramène indéniablement à la nôtre et pousse le lecteur à des réflexions sur lui-même.
Une très belle découverte, hâte de lire les prochains écrits de Pierre Avrial tant sa plume observatrice et sensible m’a plu.
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Déçue par ce petit livre. Abandonné au moment ou l'auteur fait passer comme historique une légende. Celle de la femme qui s'étouffe avec un noyau d'abricot ou de pèche et est considérée comme morte. Un tel manque de rigueur aurait fini à l'université avec un zéro pointé. Aussi, comment considérer le reste du livre qui se résume bien souvent en successions d'anecdotes ?
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