On a appris à Hélène qu'elle était une femme, qu'elle devait obéissance à son père, et qu'elle devrait un jour obéissance à son mari. On lui a appris aussi que n'étant qu'une femme elle n'avait pas tous les droits, mais qu'elle possédait, surtout, celui de se taire. Que les activistes féminines ne sursautent pas, ceci se passe en un temps où la femme dispose à peu près des mêmes libertés qu'un chien de chasse.