Une certitude sans preuve ne sert à rien devant un tribunal. Pas de preuves matérielles effectivement, pas d'empreintes repérées, en ce qui concerne les deux cas mortels. Quant aux autres cas d'agressions sexuelles, Dyllon en a reconnu fort habilement plusieurs, il ne pouvait échapper à une trentaine de femmes qui, elles, heureusement, lui avaient échappé...